This item has been sold, but we think you'll like these items from Editions Dedicaces, too.

Rendered at 14:51:26 05/17/25
Full-size item image
Primary image for Les faits sont les faits, la vérité sur les Khazars, par Benjamin H. Freedman

Les faits sont les faits, la vérité sur les Khazars, par Benjamin H. Freedman

Sold
Sold for $18.80
Ships from Canada Ca

Shipping options

Seller handling time is 10 business days Details
$7.80 via to United States
Ships from Canada Ca

Return policy

None: All purchases final

Purchase protection

Payment options

PayPal accepted
PayPal Credit accepted
Venmo accepted
PayPal, MasterCard, Visa, Discover, and American Express accepted
Maestro accepted
Amazon Pay accepted
Nuvei accepted

Shipping options

Seller handling time is 10 business days Details
$7.80 via to United States
Ships from Canada Ca

Return policy

None: All purchases final

Purchase protection

Payment options

PayPal accepted
PayPal Credit accepted
Venmo accepted
PayPal, MasterCard, Visa, Discover, and American Express accepted
Maestro accepted
Amazon Pay accepted
Nuvei accepted

Item traits

Category:

Nonfiction

Condition:

Brand New

ISBN:

9781098644666

Format:

Paperback

Language:

French

Pays/région de fabrication:

Canada

Langue:

Français

Objet modifié:

Non

Auteur:

Benjamin H. Freedman

Caractéristiques spéciales:

1re édition, Illustré

Année de publication:

2019

Sujet:

Judaïsme

Topic:

Khazars

Author:

Benjamin H. Freedman

Publication Year:

2019

Listing details

Seller policies:

View seller policies

Shipping discount:

Items after first shipped at flat $5.00

Posted for sale:

Awhile back

Item number:

1272742591

Item description

Les faits sont les faits, la vérité sur les Khazars Suivi de son discours à l’hôtel Willard en 1961 par Benjamin H. Freedman ISBN : 978-1-0986-4466-6 Format : 206 pages, 5.5 x 8.5 po., broché, papier intérieur crème #60, encre intérieur noir et blanc, couverture extérieure #100 en quatre couleurs « Les faits sont les faits, la vérité sur les Khazars » est un pamphlet se présentant comme le texte d’une lettre qu'un homme d'affaires juif, Benjamin H. Freedman, a écrit à un médecin "converso", David Goldstein, en 1954. Cette lettre défend l’idée selon laquelle le christianisme est une réalité du judaïsme. Le texte expose la notion selon laquelle la plupart des individus désormais identifiés comme juifs, ne sont pas le peuple sémitique israélite de la Bible, mais les descendants des Khazars, un peuple turcophone d’Asie centrale converti en masse au judaïsme au 8ème siècle. Freedman ne se réfère pas aux Juifs, mais à des « soi-disant » Juifs. Né dans une famille juive ashkénaze, Benjamin H. Freedman se convertit au christianisme et devient un virulent orateur, conférencier et pamphlétaire antisioniste et critique du judaïsme. Il fut l'assistant de Bernard Baruch à la campagne présidentielle de 1912. Il assistait régulièrement à des réunions avec le futur président des États-Unis Woodrow Wilson au sein du Comité démocratique national où il croisa également Samuel Untermyer. Il aurait été présent parmi la délégation envoyés par les milieux sionistes lors de la conférence de Versailles qui devait aboutir au traité afin de veiller aux suites de la déclaration Balfour de 1917. Parmi ses relations, on peut citer Franklin Roosevelt, Joseph Kennedy et son fils John F. Kennedy ainsi que d'autres personnes influentes telles que Haroldson Lafayette Hunt, Jr. et son fils Nelson Bunker Hunt. En 1946, il fonda la « Ligue pour la paix et la justice en Palestine ». À PROPOS DE L'AUTEUR : Benjamin Harrison Freedman est un homme d’affaires et pamphlétaire américain du XXe siècle (New York, 1890 – 1984). Né dans une famille juive ashkénaze, il se convertit au christianisme et devient un virulent orateur, conférencier et pamphlétaire antisioniste et critique du judaïsme. Freedman fut l’assistant de Bernard Baruch à la campagne présidentielle de 1912. Il assurait la liaison entre Rolla Wells, futur gouverneur de la Réserve fédérale à Saint-Louis et Henry Morgenthau senior. Il assistait régulièrement à des réunions avec le futur président des États-Unis Woodrow Wilson au sein du Comité démocratique national où il croisa également Samuel Untermyer. Il aurait été présent parmi la délégation envoyés par les milieux sionistes (un groupe de 117 personnes menées par Bernard Baruch) lors de la conférence de Versailles qui devait aboutir au traité afin de veiller aux suites de la déclaration Balfour de 1917. Parmi ses relations, on peut citer Franklin Roosevelt, Joseph Kennedy et son fils John F. Kennedy ainsi que d’autres personnes influentes telles que Haroldson Lafayette Hunt, Jr. et son fils Nelson Bunker Hunt. Vers 1946, avec son épouse, “RM Schoendorf” (Rose M. Schoendorf Freedman), il parrainait une série de publicités sous le nom de « Ligue pour la paix et la justice en Palestine ». En 1946, il poursuivit en justice le Comité juif américain pour diffamation et l’affaire fut rejetée en moins d’un mois.